FLORANGE: REPRENEUR "BIDON", NATIONALISATION IMPOSSIBLE AUTANT QU'IDIOTE, MONTEBOURG DOIT PARTIR.
Le repreneur aux 400 millions d'euros n'était qu'un beau rêve. Une nationalisation créait une "salade" préjudiciable à l'entreprise. Il a fallu composer avec Mittal, le patron, pour qu'il renonce à son plan social, qu'il continue de maintenir en état de remise en marche rapide ses hauts fourneaux (dès qu'une reprise économique fera remonter le cours de l'acier), et investisse une bonne somme dans des projets d'amélioration énergétique et de piégeage du CO2.
Les syndicats, qui rêvaient de voir leurs ouailles bénéficier du statut d'agents d'une entreprise publique, sont furieux, et se disent trahis par le gouvernement, qui découvre à chaque pas la réalité.
Depuis qu'il est Ministre du redressement productif, à combien d'échecs pitoyables Arnaud Montebourg a-t-il abouti? Un certain nombre!
Il est de son intérêt, de l'intérêt du Gouvernement, de celui de l'image de l'économie de la France, qu'il quitte le gouvernement, par démission de préférence, qu'il se refasse une doctrine, et se fasse....oublier.
Sceptique
P.S:IL ne veut pas, na!
Post-scriptum du 4 Décembre 2012: Le "Monde", qui se chauffe aux oeuvres des gouvernements, quels qu'il soient, se met à brûler ce qu'il a adoré (avant le 6 Mai 2012!). Dans une synthèse publiée en page 11 du numéro daté du 4 Décembre (fête de la Sainte Barbe, patronne des artilleurs), il déverse sur le trio Montebourg, Ayrault, Hollande une "trempette"*corrosive à souhait. Mon commentaire ci-dessus en devient un potage au potiron.
*cf "Qui veut la peau de Roger Rabbit?", film de Robert Zemeckis.