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Sceptique
1 février 2015

ÉTAT ISLAMIQUE: LA PASSION DU CRIME.

L'exécution par l'E.I. de son deuxième otage japonais est un geste de dépit, de provocation, de faible niveau politique, pour ne pas dire nul. "Il" s'est fait d'un pays devenu pacifique, un ennemi, et ce nouvel ennemi a des réserves inemployées de courage. 

Cette fuite en avant dans le sadisme confirme que les coups qui lui sont portés sont efficaces, que le courage des kurdes, le sursaut des autres victimes, et l'appui aérien des coalisés occidentaux et arabes, entament la superbe des "djihadistes", et leur font "perdre la tête".

Il y aura encore des efforts, des sacrifices à faire, des risques à prendre, pour extirper ce mal absolu du Moyen-Orient et de l'Afrique, où il s'est implanté et terrorise les populations, comme leurs modèles, les S.S., l'ont fait en Europe.

Qu'on ne me dise pas que cete dérive est "inhumaine"! Notre espèce est capable de tout, de s'enrager sans le virus "ad hoc". Mais une fois enragé, la seule solution est l'élimination.

Elle ne sera pas simple, car l'hypocrisie, la trahison, les "bénéfices secondaires", sont d'autres faiblesses de l'humanité. Mais il n'y a plus d'exemples de domination durable. 

Sceptique

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Commentaires
S
Effectivement, la psychiatrie n'a rien à dire, ni à faire. La folie collective a une autonomie. Elle peut résulter de l'ivresse de la victoire, ou de la rage de l'échec.
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P
Quand des groupes humains (et non des individus) deviennent fous, cela ne relève-t-il pas d'une autre logique que celle de la psychiatrie? N'a-t-il pas fallu qu'ils soient rendus fous?
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Sceptique
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