ET LE SAMEDI MATIN,EMMANUEL, LE CANETON, ÉTAIT TOUJOURS VIVANT!

Il faudra que notre Président, élu avec les deux tiers des voix exprimées, s'accroche, car les armées d'ennemis, et d'abstentionistes, sont parties à son assaut, pour sauver l'honneur d'un général susceptible. Encouragés, des dirigeants de partis évincés de la course, se ruent sur son image pour la piétiner.

Jusqu'où ira cette bronca négationniste, qui me semble être plus garnie de troupes de droite, que de gauche. Hier, ou avant-hier, Alexis Corbière, invité à donner son coup de pied à l'âne, était nettement mal à l'aise, d'avoir à choisir entre une insoumission et une autre.

Mais les dirigeants du parti de droite se reprennent à rêver, à imaginer une déposition, et la victoire d'un d'entre eux les doigts dans le nez. Le parti des jaloux ne saura plus où donner de la tête.

Heureusement, la lettre du Point publie l'entretien accordé par le député LREM (ex PS), Philippe Folliot,membre de la commission Défense de l"Assemblée. Qui rectifie le déroulement des faits et des commentaires, et confirme, surtout, que ce gel de crédits est une décision parlementaire prise dans les derniers mois de la présidence de François Hollande.

Toutes les autres gloses sont nulles et non advenues!

Emmanuel Macron, Président de la République, semble savoir ce qu'il aura à faire pour traiter concrètement ce problème de matériel. Qui, comme le remarque un lecteur, n'est peut-être plus le mieux adapté*.

Pour ce type de combat, je pense qu'il l'est encore, l'adversaire n'en ayant pas du tout, le jour, en tout cas.

Sceptique

*Lors de la guerre d'Algérie, notre matériel roulant datait de la seconde guerre mondiale, de sa seconde période, équipée par les États-Unis.