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Sceptique
6 mai 2019

S'IL FAUT CHOISIR ENTRE LES HUMAINS ET LES ANIMAUX, ON FAIT QUOI?

Une sérieuse situation s"installe sur notre monde. Un nombre trop important d'espèces animales disparaissent discrètement. Un beau jour, on ne voit plus un spécimen d'une espèce familière, ni particulièrement comestible, ni manifestement nuisible, ou victime de notre intolérance.

Les savants gestionnaires de la vie animale ne s'expliquent pas ces disparitions. Il n'y a pas d'augmentation de la chasse, ou d'épizooties tueuses. Mais, par contre, une baisse de la reproduction de l'espèce. Sans qu'on puisse imputer une pénurie de nourriture. On ne peut se rabattre que sur une intolérance de notre espèce. Une anthropophobie! Non dite! Les animaux ne parlent pas!

Les fautes de l'homme ne sont pas évidentes. Il ne chasse pas les espèces en question, sans intérêt alimentaire. Il n'empêche, ni la vie au quotidien, ni la reproduction de ces commensaux. Ils ne nous "piffent pas", on ne sait pas pourquoi.

Nous (quand nous parlons de nous, nous disons...nous), essayons de comprendre cette intolérance de notre espèce, qui n'a aucun comportement particulier, cause possible de l'intolérance qui aboutit à notre évitement.

Surtout qu'à l'inverse, d'autres espèces usent et abusent de notre compagnie, qui leur est nécessaire et probablement agréable. Mais pas réciproquement! Nous préfèrerions leur disparition....je pense aux rats et aux souris.

Vivant à la campagne, j'ai la compagnie d'oiseaux, qui nichent dans mes arbres, et dans les haies épaisses qui se sont formées au fil du temps. Ils semblent heureux, ils apprécient les suppléments de nourriture, que nous achetons à leur seule intention. Nous ne leur demandons rien....Mais une reconnaissance, nous ne cracherions pas!

Leur fréquentation en est le seul signe.

Sceptique

Stimulé par une accusation, celle qui accuse de malfaisance mondiale nos chats.

Il en est des chats comme des hommes, qu'on désigne comme chasseurs. L'abomination des abominations. Y en a-t-il un qui pourrait se nourrir au fil de l'an, avec les produits de sa chasse? AUCUN! Ni un chat, ni un chasseur!

On dit, mais a-t-on essayé, que sans l'amour des humains, nos chats retourneraient à l'état sauvage et se débrouilleraient. Mieux que nos chiens, ajoute-t'on.

Craignant les réactions humaines, je ne parie pas sur un essai de ce genre. Les victimes nous le feraient vitre regretter. Le supplice de la suppression de sommeil? Vous connaissez?  ÇA doit ressembler!

La guerre, coûteuse, entre les hommes et les chats, nous avons peu de chances de la gagner!

Quant aux toutous, je pense qu'ils ne manqueraient pas d'arguments, mais je parierais sur leur victoire facile. Nous sommes en fait les plus faibles! C'est pourquoi la commensalité continue!

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Commentaires
D
Je vois que personne n'a commenté ce beau billet...Je voudrais rajouter que la crainte d’attaques biologiques terroristes, l’intensification de l’élevage industriel et la dégradation écologique générale, portent l’attention sur les risques zoonotiques (Les zoonoses sont des maladies et infections dont les agents se transmettent naturellement des animaux vertébrés à l'être humain, et vice-versa. Le terme a été créé au XIX e siècle, à partir du grec zôon, « animal » et nosos, « maladie », par Rudolf Virchow.) Ces risques devraient faire passer la santé publique avant « les préoccupations éthiques et même économiques liées aux soins animaux ». Par ailleurs, les innovations en matière de protéine animale participent à menacer le statut des animaux de rente, qui deviennent moins intéressants économiquement et écologiquement parlant. Dans le même temps, la distinction entre les animaux de rente et les animaux de compagnie s’épaissit. Ces derniers sont en concurrence avec les robots de compagnie, dont l’usage se répand petit à petit après les années 2020. De sorte que, « les statuts juridiques accompagnent cette évolution, avec une différenciation normative fondée sur la fonction sociétale et la “destination” de l’animal ».
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Sceptique
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