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Sceptique
8 octobre 2016

UN FAIT, PAS SI DIVERS QUE ÇA!

Ça se passe au Canada, au Québec précisément, mais ça peut se passer dans n'importe quel pays "occidental", où la liberté de choisir son conjoint est totale.

Mais cette liberté de choisir n'est pas qualité du choix, et le divorce n'épargne pas ces mariages.

Quand il s'agit d'un mariage mixte, par la religion, celle-ci peut peser sur les suites du divorce. L'islam attribue au père la propriété des enfants, et leur enlèvement, suivi d'un retour précipité au pays, est toujours la source d'une situation douloureuse, durant des années, parfois sans issue. 

Ces affaires laissent les juges impuissants, et sont confiées aux diplomates. Mais localement, les juges donnent raison au père. Ils ne le contraindraient pas à rendre les enfants à la mère.

Il ne faut pas compter, pour prévenir cette situation, sur une mise en garde de l'épouse. L'amour est aveugle, et pour garder son charme, il doit le rester le plus longtemps possible.

Mais dans les suites du mariage, le mari étranger a tout intérêt a demander la nationalité du pays où il va résider avec sa femme et ses enfants. En France, j'en suis certain, l'acquisition de la nationalité par mariage, est, sauf soupçons de "mariage blanc", pratiquement automatique. Elle est enregistrée, quand même, sous forme d'un jugement.

Ce ne serait pas une garantie, mais l'introduction, dans notre loi, d'un avertissement adressé aux deux époux,stipulant que la nationalité acquise ainsi serait automatiquement caduque en cas de séparation et de retour vers le pays d'origine, ferait réfléchir le bénéficiaire. 

Ce rajout à notre droit serait peut-être plus compliqué que je le vois, mais une fois le principe posé, ce serait l'affaire de nos législateurs et de leurs contrôles constitutionnels.

Sceptique

 

 

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