HEURS ET MALHEURS DU MONSIEUR MUSCLE DU PRÉSIDENT!

J'ai maintenant son nom :Benalla, Alexandre Benalla. 

Lorsque notre Président était en campagne, son fidèle Benalla! était son monsieur muscle. Il en avait la capacité, il avait fait ses preuves au service du parti socialiste.

Èlu, le Président l'a gardé à ses côtés à l'Élysée. À la fois pour la tête et les biceps.

Mais il y a quelques mois de ça, une manifestation hostile au Président s'est déroulée sous les yeux de Benalla. Ni une, ni deux, le monsieur muscle du Président s'est coiffé d'un casque de policier, et a empoigné vigoureusement le premier manifestant à sa portée, pour lui faire sentir sa vigueur. Plus? moins? Une vidéo a été tournée, par un journaliste, livrant à l'Histoire la preuve de la brutalité d'un serviteur du Président. "On" n'a pas parlé d'un envoi à l'hôpital du malheureux manifestant. Ça n'est pas allé aussi loin!

Mais la video publiée a contraint son empoyeur et ami à lui infliger une sanction, limitée en quantité. Le Président l'a gardé, comme ami, et Monsieur Muscle, intervenant si besoin.

Du point de vue de l'opposition, ce travailleur ne mérite pas l'application des droits du travail. L'usurpation de fonction (le casque), l'emporte largement et justifierait l'exclusion ferme et définitive. Enfin, c'est ce qu'a dit celui qui serait Premier Ministre de J.L.Mélenchon, si c'était celui qui avait été élu en Mai 2017.

À l'heure qu'il est, 16 heures, toute l'artillerie journalistique française tire en direction de l'Élysée. Ce n'est que du papier. Qu'il vaut mieux ne pas lire, pour ne pas rougir de honte. Que va décider le Président? Je serais étonné qu'il exauce les souhaits des commentateurs, la mise à la porte de son garde du corps. Car il n'est pas du genre obéissant.

Comme quoi, l'histoire se fait avec peu de chose. Quelques "beignes".

Sceptique

Monsieur Muscle de l'Élysée, deuxième chapitre:

Monsieur Alexandre Benalla  focalise depuis quelques heures la totalité des attentions des français curieux, des amis et des ennemis (bien plus nombreux) du Président de la République.

LUI, ses fidèles, ses ministres, devraient être tous, à l'heure qu'il est, déposés, démissionnés, internés, embastillés, car ils ont couvert les agissements de Benalla contre la crême politique française, celle qui combat pour le remplacement de l'imposteur Macron, par le vrai vainqueur, Jean-Luc Mélenchon. Dont le ministère est déjà constitué, et attend la déposition du prétendu Président, pour entrer en fonctions.

Le seul obstacle est la présence, encore, dans la nature, du fauteur de troubles moraux Alexandre Benalla. Il n'est pas sûr qu'il se laisse prendre. Comme il n'est pas sûr, non plus, que le Président élu en Mai 2017, se laisse déposer par l'autorité médiatique, réunie au siège du Journal Le Monde.

Si j'en crois l'unanimité des intervenants de la Chaine d'information LCI, le sort promis au pouvoir actuel, majorités parlementaires, Ministres en éxercice, et Président de la République, serait ficelé. Les "outrés" seraient déterminés à arracher le pouvoir aux indignes.

PCC Sceptique.