LES MALHEURS ÉCOLOGIQUES DE LA VIE POLITIQUE.
La politique s'occupe des humains, l'écologie les voue aux gémonies.
Il en résulte que, périodiquement, un écologiste partenaire sous conditions de la politique, lui claque la porte au nez. Du côté extérieur!
Normalement, les politiques abandonnés devraient pousser un ouf de soulagement, car les exigences de l'humanité sont antinomiques de celles de l'écologie: vouloir avoir chaud quand il fait froid, vouloir avoir la fraicheur quand il fait chaud.
Si ce n'était que ça! L'humain veut aller à la mer quand il fait chaud, et à la montagne, quand il fait froid. Contrariant autant qu'exigeant. Chaque migration représente des tonnes de carburant. La montagne est plus gourmande, à l'unité, que la mer. L'homme ordinaire s'en fout complètement. L'homme écologique en est malade. Avec ses semblables, ses coreligionnaires, il sermonne le peuple et les politiques complices.
Comme ça ne sert à rien, de temps en temps un écologiste "pète les plombs".
Nicolas Hulot, écologiste chéri du Président, a fini par claquer la porte de SON ministère. Rien ce ce qui se faisait pour le peuple français ne pouvait lui plaire. Il en était humilié.
Ces jours-ci, c'est un député LREM, du nom de Mathieu Orphelin, qui quitte le parti qui l'a adoubé, pour faire valoir sa foi sans parjurer celle de Macron et de ses députés. Il lui en restera....il y en a tellement!
Cette situation conflictuelle n'est pas près de s'apaiser. La crise, l'incompatibilité, sont consubstantielles.
Heureuses sont les îles tropicales pas trop grandes et bien arrosées. Pas de costume trois pièces, pas de voitures, pas de chauffage, les nourritures disponibles peuvent se sonsommer crues. Le pied, pour ceux qui savent ne jamais s'ennuyer! Et qui disposent d'une rente, j'allais oublier!
Sceptique